Passion Campus #1

Le secret du capitaine – Jordan
Une étudiante qui ne recule devant rien, un duel enflammé sur la glace….
Publier un article sur les magouilles financières de l’université ?…
Très mauvaise idée !
Me voilà punie, expédiée au service des sports, condamnée à couvrir les matchs des Hawks, l’équipe de hockey de la fac. Et je n’y connais rien !
C’est pénible, mais ce n’est rien comparé à leur capitaine, la super star du campus. Dès notre première rencontre, les étincelles fusent. Il me déteste ? Tant mieux, moi aussi.
Seulement, il m’obsède. Derrière l’arrogance et les provocations, il y a autre chose, une tension brûlante, un jeu dangereux. Jordan McKay pourrait bien être le plus grand défi de ma vie, car derrière son armure glaciale, il cache beaucoup de choses…
E-book, broché, abonnement Kindle et Kobo+
Peut être commandé dans toutes les librairies – Réseau Hachette Distribution
Rencontrer mes héros !
Jordan : Capitaine de l’équipe des Hawks, c’est sa dernière année à l’université et il veut gagner la coupe ! Derrière sa réputation de Don Juan, il dissimule une enfance brisée. Sa volonté et son tempérament obstiné lui ont permis de surmonter ses plus gros traumatismes.
Mais pas tous…
Liz : Issue d’une famille riche et puissante, elle veut prouver qu’elle est capable de réussir seule et ne supporte pas ceux qui abusent de leur pouvoir. Trop curieuse pour son bien, elle est mutée au service des sports. C’est peut-être la seule personne de toute l’université qui puisse se vanter d’être aussi têtue que Jordan !
Et elle aime un peu trop traquer les secrets….

Extrait : leur première rencontre !
Les locaux qui sont alloués à notre journal sont situés au sixième étage d’un des plus anciens bâtiments de l’université, le genre vétuste où l’ascenseur lâche deux fois par semaine. C’est l’état lamentable de cet immeuble où se trouvent certains amphis de sciences qui m’a mis la puce à l’oreille et m’a poussée à traquer l’utilisation réelle de la donation de la fondation Baines.
À cet instant, je suis en train de farfouiller dans d’obscurs sous-dossiers du site Internet du conseil universitaire à la recherche de comptes-rendus lorsque, soudain, la double porte des bureaux s’ouvre avec fracas, valdinguant dans le mur dans un boucan d’enfer. Tous les présents sursautent, moi comprise, alors qu’un énergumène grand, musclé et en rogne déboule en mode char d’assaut. Mes collègues s’écartent devant lui comme la Mer Rouge devant Moïse, sans rien tenter pour l’intercepter alors qu’il fonce droit dans ma direction. Le malotru se plante devant moi.
— C’est toi qui as écrit ce truc ? demande-t-il en me flanquant sous le nez mon article sur le match des Hawks.
Je reste tétanisée une seconde avant de me redresser d’un bond pour ne pas lui laisser croire qu’il peut m’impressionner.
Je ne vais pas m’effrayer pour un type mal embouché quand même !
— Il semblerait bien que oui !
Visage relevé, regard fier, solide dans mes bottes Manolo Blahnik, j’ai belle allure avec mon tailleur bleu marine et mon chemisier blanc, très pro. Seulement, je n’arrive guère qu’au menton de ce gars. Il doit approcher le mètre quatre-vingt-dix. Les épaules larges et les muscles puissants qui tendent le tissu de son tee-shirt noir à manches longues le classent, sans hésitation, dans la catégorie « hockeyeur pas content ».
Pas content du tout.
Comment fait-il pour ne pas avoir froid habillé comme ça alors que le chauffage est encore en panne ?
Question idiote concernant un mec qui doit passer tout son temps libre dans une patinoire. Philip se précipite vers nous pour se porter à mon secours.
— Je suis le rédacteur en chef. S’il y a un problème avec un de nos articles, c’est avec moi qu’il faut voir.
— Il y a un très gros problème, confirme le balaise en pivotant vers lui. Vous avez lu ce truc ?
Philip hoche la tête, blêmissant. L’Hercule se désintéressant de moi, j’en profite pour l’examiner.
Ne suis-je pas journaliste ? C’est mon job d’observer les détails.
Brun, les cheveux courts et en pétard – genre tombé du lit –, la peau mate, des traits durs et réguliers, mal rasé, des yeux très clairs, presque translucides… Ils ne sont ni bleus ni verts, mais un mélange explosif des deux qui doit être assez difficile à oublier pour celles – ou ceux – qui s’y montreraient sensibles. L’expression « ses beaux yeux » utilisée par Hailey la serveuse n’était donc pas une métaphore et me permet de deviner sans risque d’erreur qui est venu nous taper un scandale : Jordan McKay, l’invincible capitaine des Hawks en personne !
D’ailleurs, ce monsieur, les poings sur les hanches, affiche une confiance en lui qui confine à l’arrogance.
J’ai horreur de ce genre de mec.
Je parierais mon dernier cookie au chocolat que c’est un tombeur. Les nanas doivent se pâmer au premier sourire. Pour aujourd’hui, la version souriante, je peux oublier. Il est clairement furax.
— Nous nous sommes entraînés comme des dingues pour battre les tenants du titre dès le premier match de la saison, tout ça pour trois lignes dans le canard de la fac ! La scribouillarde, dit-il en me désignant, n’a même pas daigné nous interviewer après la rencontre, envolée, disparue. À se demander si elle était à l’Arena.
Je me raidis sous l’insulte. Heureusement, Philip va me défendre. Il ne va pas se laisser faire. Il va…
— Je reconnais que cet article est très insuffisant, se dégonfle-t-il lamentablement. Liz, je voulais t’en parler. Tu aurais dû prévoir une page entière à la une !
Mes yeux s’écarquillent de surprise alors que le regard ni bleu ni vert du hockeyeur, très amusé, se braque de nouveau sur moi. Il croise ses bras musclés, me narguant. Je me sens rougir d’un mélange de gêne et de colère. Je me défends :
— D’abord, j’étais à l’Arena. Je ne bidonne pas mes articles. Ensuite, je te rappelle que tu l’as validé en me disant qu’il était OK. Tu veux que je ressorte ton mail ?
Philip s’empourpre d’embarras.
Bien fait pour lui !
Il doit me couvrir, c’est son boulot de rédac chef, il est payé pour, alors que moi je bosse gratis pour des points à mon UV.
— J’étais débordé par la situation au Sénat, se justifie-t-il. Je n’ai pas fait assez attention, mais tu aurais dû t’en rendre compte toute seule. Je ne peux pas toujours être derrière toi.
Il pivote vers le hockeyeur qui s’éclate de me voir ravalée au rang de blondasse sans cervelle, mais qui me semble aussi avoir beaucoup apprécié que j’aie mis Philip face à ses responsabilités.
— Je vous prie d’accepter mes excuses et celles de toute la rédaction. De telles insuffisances ne se reproduiront plus. Pour rattraper, Liz va réaliser un cahier spécial, en hors-série, ce sera un reportage complet sur l’équipe avec photos et interviews et…
— Qui ? le coupe l’armoire à glace, décidée à être pénible jusqu’au bout. Avec cette dame, nous n’avons jamais été présentés.
Philip n’ose plus nous fixer, mal à l’aise comme jamais. Il cède de nouveau à la pression de l’énergumène !
— Liz, tu connais évidemment Jordan McKay, le capitaine des Hawks. C’est Elisabeth-Ann Miller-Jones.

E-book, broché, abonnement Kindle et Kobo+
Peut être commandé dans toutes les librairies – Réseau Hachette Distribution
Prochainement la suite de la série

Rejoindre mon club !

Les avantages du club ?
C’est un email tous les quinze jours avec toutes les annonces en avant-première, régulièrement des bonus lecture gratuits et l’accès à des concours exclusifs…
Pour te remercier de ton inscription, tu recevras un roman inédit : Voleur de mon Cœur !
Si tu préfères juste recevoir un seul mail par mois, tu peux choisir de t’abonner uniquement à la Newsletter du blog de ce site, en bas de page.
Dans les mêmes Tropes !
Ce site n’appartient pas à Facebook et n’est pas affilié à Facebook Inc. Le contenu de ce site web n’a pas été vérifié par Facebook. Facebook est une marque déposée de Facebook, Inc.






